Emission infrarouge : Zero déchets
A voir absolument !
Résumé :
"Cette expérience ne vaut que parce qu’elle est radicale : elle
raconte le passage d’un mode de vie urbain traditionnel -et donc
gourmand en déchets- à un mode de vie frugal en déchets qui vise à
réduire au maximum leur production, sans perdre en qualité de vie. Pour
l’expérimentateur, en l’occurrence moi, ça va être un véritable parcours
du combattant. Pour changer de mode vie, je vais rencontrer de grandes
difficultés, mais aussi remporter de petites victoires. Consommer,
travailler, voyager : autant d’activités humaines quotidiennes qui
génèrent des déchets… Alors comment vivre au quotidien sans produire de
déchets ou en les recyclant au maximum ? Mission impossible ? Pas tout à
fait… La franco-américaine, Béa Johnson, l’a fait ;
elle a appliqué ce principe et a réussi à faire de son foyer une maison
zéro déchet. Elle, son mari et leurs deux enfants, ne produisent plus
qu’un kilo de déchets par an ! Dans le prolongement de l’expérience
vécue par les Johnson, l’expérience filmée « ma vie zéro
déchet » s’inscrit dans le cadre domestique pour répondre à des
questions quotidiennes et très concrètes : comment un individu,
en couple avec un enfant en bas âge et établi en milieu urbain s’adapte
à un mode de vie « zéro déchet » ? Quelles sont les difficultés et les
avantages de mon/notre nouveau mode de vie ? Comment appliquer au
maximum ce mode vie à l’extérieur de mon foyer : au travail, en
déplacement, en vacances ?
… un documentaire d’investigation sur les déchets
Cette quête vers le « zéro déchet » est un parcours semé d’embûches
et ces difficultés deviennent le piment du récit. Confronté à un
obstacle au cours de mon expérience, je vais devoir trouver des lieux où
me fournir, m’équiper, me renseigner ; comme des personnes ressources
susceptibles de m’éclairer, jusqu’à faire appel à des experts pour
résoudre mon problème. Je pars à leur rencontre, je les interroge en
action et in situ, sur le lieu de travail. Aussi, à chaque étape de
l’expérience, mes obstacles soulèvent des questions sur la façon dont la
France traite ses déchets, sur leur possibilité de gestion à l’échelle
d’un immeuble, d’un quartier, d’une ville. Ainsi, ce
documentaire s’appuie formellement sur une expérience pour nourrir mon
enquête de fond sur les déchets et leur recyclage.
In fine, le film « Ma vie zéro déchet » se livre à une radiographie
sans précédent de l’épineuse question des déchets et de leur gestion en
France. Même si mon voyage vers le zéro déchet est plus un but vers
lequel tendre qu’un objectif absolu à atteindre, l’expérience à laquelle
je me livre de façon radicale est riche d’enseignements car, plutôt que
d’aborder la question des déchets de façon théorique à grand renfort de
chiffres, elle cherche des réponses à partir de situations concrètes et
quotidiennes dans lesquelles chacun se reconnaîtra".Emission Infrarouge |
Le reportage nous montre la vie quotidienne du journaliste Donatien
Lemaître, et comment il passe, emportant dans l'expérience sa femme et leur bébé, de 29 kgs de déchets mensuels à 1 kg en 6
mois !
Que vous trouviez cela absurde, inutile ou infaisable, qu'au contraire vous ayiez ayiez envie mais ne sachiez pas comment procéder, que vous ayiez commencé ou que vous soyez déjà bien avancé dans la démarche, cette émission vous donnera les pistes, les étapes...
Moi il m'a encore plus motivée ! Prochaine étape, résoudre la question des sacs en plastique qu'on nous donne à la pesée des fruits et légumes. J'en ai marre de ces fichus machins qui ne servent à rien et finissent illico dans la poubelle en arrivant à la maison parce qu'on ne peut pas s'en resservir !
Un reportage instructif, parfois amusant, et pas-sion-nant ! 65 minutes, encore disponible en replay pendant 20 jours. Dépêchez-vous !
Je dois aussi absolument re-trouver le livre de Béa Johnson évoqué, j'avais commencé à le lire mais il n'était pas à moi et je ne l'ai pas fini...
Là où j'ai "les boules" , je le dis franchement : nous sommes une famille qui générons déjà beaucoup moins de déchets que d'autres, et même si je poursuis et améliore cette démarche, je payerai toujours autant de REOM car c'est calculé forfaitairement (nombre de personnes composant le foyer), autant dire que tant que les poubelles ne seront pas facturées au poids je n'aurai dans ma démarche qu'une satisfaction personnelle et altruiste mais pas de récompense financière et...il y a de quoi être fâchée sur le sujet !
Ici on est facturé au volume. Sur le papier c'est bien, mais en réalité je paye 2 fois plus cher que là où j'habitais avant, alors qu'on fait le tri, le composte, couches lavables, litière compostable etc. Ça n'incite pas à aller vers le zéro déchets...
RépondreSupprimerj'ai regarder ce reportage et je le trouve très bien . Il ma remotiver moi aussi même si je fait la plupart des chose dont il parle . Si tu veux te booster encore plus il y a la livre "no impact man " qui est pas mal aussi .
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